DO NOT RELENT FOR A MOMENT AGAINST THE DICTATORSHIP. NE LAISSONS AUCUN MOMENT DE RÉPIT Á LA DICTATURE

English version

Ali Bongo has made another million promises to the Gabonese people. To this we must reply to him in the only way he understands: "Get out of here! "

Dear readers, thanks to the repeated actions of the diaspora and the brave Gabonese on the ground in Gabon, Ali Bongo is struggling to impose himself. It is rather us who affirm progressively our determination towards the inevitable outcome which will be his departure. Everytime Ali Bongo travels, has become a new occasion for demonstration of the striking force of the Gabonese diaspora.

The dialoguers will tell us that we should build a "constructive opposition" that will bring ideas and feed reflections. No dear readers, we must reply to them: "Get out of here! We will discuss and negotiate when Ali Bongo will be gone. Period!

To the dialoguers, we say that the time when we enjoyed being heard complaining, without action, is over. The time of useless debates which ended in an injunction by the regime telling us all: "the debate is closed and life goes on as before", is absolutely behind us.

Dear readers, let's continue to tighten the screw; Ali Bongo is very annoyed by our actions.

Do not give up!

Happy New Year everyone

We will not give up!

Version française

Ali Bongo a de nouveau fait un million de promesses aux Gabonais. A cela, nous devons lui répondre de la seule manière qu’il comprenne : « fout le camp ! »

Chers lecteurs, grâce aux actions répétées de la diaspora et des courageux Gabonais sur place au Gabon, Ali Bongo peine à s’imposer. C’est plutôt nous qui affirmons progressivement notre détermination vers l’inévitable dénouement qui sera son départ. Chaque sortie d’Ali Bongo est devenue une nouvelle démonstration de la force de frappe de la diaspora Gabonaise.

Les dialogueurs vont nous dire que nous devrions nous constituer en « opposition constructive » qui apporterait des idées et nourrirait les réflexions. Non chers lecteurs, nous devons leur répondre : « foutez-nous le camp ! », on discutera et négociera quand Ali Bongo sera parti. Point !

Aux dialogueurs, nous disons que le temps où on se faisait plaisir à s’entendre nous plaindre, sans suite, est révolu. Le temps de la parole inutile qui se concluait par une injonction du régime nous disant à tous : « le débat est clos et la vie continue comme avant », est absolument derrière nous.

Chers lecteurs, continuons de serrer la vis ; Ali Bongo est très embêté par nos actions.

Ne lâchons absolument rien !

Bonne année à tous