THE DICTATOR IS ALWAYS PERFECT; IT IS HIS ENTOURAGE THAT IS CONSTANTLY BAD! LE DICTATEUR EST TOUJOURS PARFAIT ; C’EST SON ENTOURAGE QUI EST CONSTAMMENT MAUVAIS !







English version


When we read the Makaya column above, we almost think it's a satire. Ali Bongo simply warms his father's old dishes; he recalls the recipe of "I do what I can with my brilliant ideas, but my collaborators are so dumb that they make all my projects fail". We know the music!

Since the 1980s when Omar Bongo told the Gabonese people that he was not responsible for the "economic situation", we understood that it was a joke to claim the innocence of the Gabonese president before the economic and social slump of the country; knowing that he exercised power alone.

In fact, in trying to defend Ali Bongo and blame his entourage, the newspaper L’Union turns Ali Bongo into ridicule, because authoritarianism has as its main axiom, that the dictator at the top of the pyramid is responsible for everything. Therefore, when the country collapses, we cannot exonerate the dictator.

Looking back in history shows us that most of the dictators in the world have never admitted that any problem was their fault. It is always their generals’ or ministers’ fault. Similarly, it is never Ali Bongo’s fault; it’s always the media or the people working for him.

No Ali Bongo is not a victim of his entourage, but guilty of having set it up.

This column is grotesque of incoherence!

We will not give up!




Version française

Quand on lit le billet Makaya ci-dessus, on a presqu’envie de croire que c’est une satire. Ali Bongo réchauffe simplement les vieux plats de son père ; il nous ressert la recette du : « je fais ce que je peux avec mes brillantes idées, mais mes collaborateurs sont des nullards qui font échouer tous mes projets ». On connait la musique !

Depuis les années 80 quand Omar Bongo disait aux Gabonais qu’il n’est pas responsable de la « conjoncture », nous avons compris qu’il soit léger de prétendre à l’innocence du président gabonais devant le marasme économique et sociale du pays ; sachant que ce dernier exerce le pouvoir sans partage aucun.

En fait, en voulant défendre Ali Bongo et accuser son entourage, le journal L’Union tourne Ali Bongo en en dérision, car l’autoritarisme a pour principal axiome, que le dictateur au sommet de la pyramide soit responsable de tout. Par conséquent, quand le pays s’effondre, on ne peut pas disculper le dictateur.

Un regard historique nous montre que la plupart des dictateurs dans le monde n'ont jamais admis que tout problème était de leur faute. C'est toujours la faute de leurs généraux ou de leurs ministres. De même, ce n'est jamais la faute d'Ali Bongo; c'est toujours celle des médias ou les gens qui travaillent pour lui.

Non Ali Bongo n’est pas victime de son entourage, mais coupable de l’avoir mis sur pied.

Ce billet est grotesque d’incohérence !

On ne lâche rien !

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