WITH OR WITHOUT BIRTH CERTIFICATE, ALI BONGO IS PREPARING FOR THE ELECTION; SAYS LA LETTRE DU CONTINENT. AVEC OU SANS ACTE DE NAISSANCE, ALI BONGO SE PRÉPARE À L’ÉLECTION; NOUS DIT LA LETTRE DU CONTINENT

Aboghe-Ella, Ali Bongo et Mborantsuo ; le triumvirat électoral au Gabon (image : info-241)


English version

The latest edition of La Lettre du Continent says that Ali is preparing for presidential election of 2016, by rearranging the positions on his political Titanic. He has reportedly positioned trusted men as sentinels to guard each of the 9 provinces. La Lettre du Continent says that Ali Bongo has little confidence in the former leadership of his party whom he suspects of disloyalty. Dear readers, he is preparing without a birth certificate; he does not care because he relies on another passage in force. Will we be prepared to stop him?

He has reportedly positioned people like Yves Fernand Manfoumbi in what the regime called the big south, meaning the provinces of Ngounié and Nyanga; and Pacôme Moubelet-Boubeya in Ogooué-Lolo, to counteract not only the opposition but also the caciques of the PDG such as Guy Nzouba Ndama whom La Lettre du Continent says is one of those Ali Bongo is worried about.

In Haut-Ogooué, where Ali Bongo is particularly uneasy, to the point of removing the responsibility of that province from Mathias Otounga Ossibadjouo and Ali Akbar Onanga Y'Obegué, to entrust it to Cyriaque Anvouradjami, the Deputy General Director of State protocol. It seems that in this province, Ali Bongo has have lost the support of elders and is trying to attract young people.

In Moyen-Ogooué, Ali Bongo has selected Joel Ogouma, one of his lieutenants in the Freemasonry, instead of Richard-Auguste Onouviet who is suspected of intelligence with Jean Ping. In Estuaire, Ali Bongo has decided to rely on the tandem Paul Biyoghé Mba and Florent Mba Sima; to compete with the strength of Jean Eyeghe Ndong who is a formidable support for Jean Ping.

But La Lettre du Continent tells us that in the provinces of Ogooue-Maritime and Woleu-Ntem, Ali Bongo has still not solved the equation of finding who could control these "problematic" provinces.

To certainly dusting up his networks for the upcoming election, Ali Bongo has resumed contact with the françafrican Robert Bourgi. He has just been on a visit to Libreville, certainly to plan the choreography of another rigged "election". A presidential Grumman was made available to Robert Bourgi to go pay tribute to Omar Bongo’s tomb. The Gabonese people, once again, will appreciate how their money is spent.

La Lettre du Continent also informs us that certainly to seem to do something about the police brutalities that have flared up in recent weeks, Ali Bongo has dramatically revamped the leadership of the Gabonese police. But again, instead of competence, it is still close friends and Freemasons who were appointed. The prefect of Libreville is now Serge Ngoma, the husband of Ali Bongo’s cousin. The commander of the operational units and logistics is Yves Marcel Mapangou-Moussadji, a friend of the commander Jean-Clotaire Thierry Oye Nzue. The general inspection was entrusted to Denis Mikala Boutamba, a former football player placed in the police by Jean Boniface Assélé. During the upheavals of the late 80s and early 90s, Denis Mikala Boutamba led a police attack on the university of Libreville campus, during which several female students were raped. Dear reader, nothing is likely to change in the right direction in the police force.



Version française

La dernière édition de La Lettre du Continent nous dit qu’Ali se préparerait à la présidentiel 2016, en réarrangeant les postes au sein de son Titanic politique. Il serait en train de positionner des hommes de confiance comme sentinelles pour veiller sur chacune des 9 provinces du pays. La Lettre du Continent affirme qu’Ali Bongo ait peu confiance en l’ancien leadership de son parti qu’il soupçonne de déloyauté. Chers lecteurs, il se prépare sans acte de naissance ; il s’en fout car il compte sur un autre passage en force. Serons-nous préparés à le stopper net ?

Il serait en train de positionner des gens comme Yves-Fernand Manfoumbi dans ce que le régime appelle le grand sud, c'est-à-dire les provinces de la Ngounié et Nyanga; et Pacôme Moubelet-Boubeya dans l’Ogooué-Lolo, pour contrecarrer non seulement l’opposition, mais aussi les caciques du PDG comme Guy Nzouba Ndama que La Lettre du Continent présente comme l’un de ceux dont Ali Bongo se méfie.

Dans le Haut-Ogooué, Ali Bongo est particulièrement à l’étroit, au point d’avoir retiré la responsabilité de cette province à Mathias Otounga Ossibadjouo et Ali Akbar Onanga Y'Obegué, pour la confier à Cyriaque Anvouradjami, le Directeur Général Adjoint du protocole d’Etat. Il semble que dans cette province, Ali Bongo aurait perdu le soutient des anciens et essaierait de s’attirer les jeunes.

Dans le Moyen-Ogooué, Ali Bongo a sélectionné Joël Ogouma, un de ses lieutenants au sein de la-franc-maçonnerie en lieu et place de Richard-Auguste Onouviet qui est suspecté d’intelligence avec Jean Ping. Dans l’Estuaire, Ali Bongo a décidé de s’appuyer sur le tandem Paul Biyoghé Mba et Florent Mba Sima; pour concurrencer l’efficacité de Jean Eyéghé Ndong qui est un redoutable soutien à Jean Ping.

Mais La Lettre du Continent nous dit que dans les provinces de l’Ogooué-Maritime et du Woleu-Ntem, Ali Bongo n’a toujours pas résolu l’équation de trouver qui pourrait contrôler ces deux « problématiques » provinces.

Pour certainement épousseter ses réseaux en vue de l’élection à venir, Ali Bongo a repris langue avec le Françafricain Robert Bourgi. Il vient d’effectuer un séjour à Libreville, certainement pour planifier la chorégraphie d’une autre « élection » fantoche. Un Grumman présidentiel aurait été mis à la disposition de Robert Bourgi pour aller se recueillir sur la tombe d’Omar Bongo. Les Gabonais apprécieront encore une fois de savoir comment leur argent est dépensé.

La Lettre du Continent nous informe aussi du fait que certainement pour sembler réagir aux bavures policières de ces dernières semaines, Ali Bongo ait remanié considérablement le leadership des forces de police gabonaise. Mais encore une fois, en lieu et place de la compétence, ce sont encore des petits copains et francs-maçons qui ont été placés. Le préfet de Libreville est désormais Serge Ngoma, l’époux de la cousine d’Ali Bongo. Le poste de commandant des unités opérationnelles et de la logistique est Yves Marcel Mapangou-Moussadji, un ami du commandant en chef Jean-Clotaire Thierry Oyé Nzué. L'inspection générale a été confiée à Denis Mikala Boutamba, un ancien footballeur placé dans la police par Jean Boniface Assélé. Pendant les soubresauts de la fin des années 80 et début 90, Denis Mikala Boutamba avait dirigé une attaque policière du campus de l’université de Libreville, au cours de laquelle plusieurs étudiantes furent violées. Chers lecteurs, rien ne risque de changer dans le bon sens dans les services de police.

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